Fantasmots

Il est exact que l’on ne se connaît pas. Et pourtant… J’imagine déjà tout ce que l’on pourrait faire ensemble. Appelez ça des rêves, des fabulations ou des idées loufoques, moi je nomme cela des fantasmes. Oh rien de pervers ni de déviant, seulement le plaisirs de partager un temps de chaleur, un temps ou le corps serait plus fort que la pensée, un temps ou la libido remporterait sur la raison.

            « Mais qu’est ce qu’il est entrain de raconter » êtes-vous entrain de vous dire. Pourtant vous ne pouvez vous empêcher de me lire, alors je vous propose de continuer  à visiter mes lubies…

 

            Notre première rencontre pourrait avoir lieu dans un café. Vous êtes là, belle comme savent l’être les femmes. Je ne peut vous décrire car vous êtes encore  dans mon esprit  qu’un caléidoscope de forme et de couleur. Pour cette première rencont 1026417193_7da76469ba.jpg re vous vous êtes vêtue d’un vêtement protecteur : un pantalon o une jupe longue, chemisier strict sous un pull ou une veste bien fermée. Vous êtes là car vous avez comme moi, envie de découvrir autre chose, de casser le quotidien. Seulement vous vous cacher encore derrière des idées : « est il beau, est il honnête, et si je faisait une bêtise…… ».

 

            Devant notre café nous discutons du temps et des choses ; tant de banalité qui nous servent d’alibi pour retarder  ce que nous espérons. Ma main vient effleurer la votre et je commence à jouer avec vos doigts. Je les caresses, les contourne, les effleure de gestes de plus en plus confiant. Ce premier contact est doux et chaud, je promène mes doigts dans le creux de votre paume et nos yeux s’enlacent en silence, comme une promesse de ce qui va se passer.

 

            Les mots n’ont plus de sens alors nous quittons ce café. Dehors il fait chaud, nous prenons une seule voiture décidant d’un commun accord de vérifier si l’air est aussi doux que nos sens. Nous roulons lentement, ma main est maintenant posée sur votre nuque. Elle se promène doucement, passant du creux de vos oreilles, à votre épaule pour revenir se loger sur votre nuque. Je descend le long de votre colonne vertébrale., dans un semblant de massage. Notre position n’est pas pratique et pourtant  ma main parvient à se poser au creux de vos reins. Mes doigts se glissent sous votre veste et votre chemisier pour atteindre la douceur de votre peau. Je parcours doucement la lisière marquée par la ceinture de votre jupe ou pantalon. Ma main quitte cette douce chaleur, remonte le long de votre dos, revient à la nuque, les oreilles, les épaules, puis redescend en effleurant la rondeur de votre poitrine. Elle vient se poser sur votre genou, se glisse à l’intérieur de votre cuisse et remonte vers votre entrejambe, glissant sur le tissu tout en vous massant tendrement. Mes doigts viennent de se poser à la limite de votre culotte. Je la sent à travers le tissus,. Je contourne ce lieux secret, effleure votre ventre, redescend et vient malaxer tendrement votre entre jambe.

 

            Il est temps de stopper le véhicule, trouver un petit coin tranquille. Nous nous tournons l’un vers l’autre. Premier baiser, tendre et fougueux. Nos langues se chevauchent, se caressent et se recherchent. Ma main droite se presse contre votre nuque, voyage dans le long de votre dos, descend dans le creux de vos reins. Ma gauche c’est posée sur votre hanche, elle se faufile sous le tissus, trouve votre peau satiné. Notre baiser se poursuit puis je viens picorer votre cou, vos oreilles. La main posée sur votre hanche poursuis son chemin jusqu'à la ceinture de votre jupe ou pantalon. Elle trouve les attaches, qu’elle défait , puis se glisse le long de votre peau jusqu'à la naissance du mont de Venus. Ma main droite est arrivée

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à la naissance de votre fessier. Qu’elle caresse lentement. Ma bouche vous picore, vous goute, vous découvre. Je continue à presser votre fessier alors que mon autre main remonte vers votre poitrine. J’effleure les couture de votre soutien gorge, escalade avec mes doigts impatients le doux mont de votre poitrine, titille à travers le tissus un mamelon déjà durci. Puis mes doigts s’enhardissent et pénètrent sous le tissus.   Ils vient jouer avec votre téton, le contourne, le fait rouler. Ma main soupèse votre poitrine, la caresse, la flatte. Ma bouche est arrivée à la base de votre cou… je descend entre vos deux seins, arrive au ventre, s’égare entre votre nombril et la couture de votre culotte…

 

            La suite…. A vous de l’imaginer, de l’écrire. Ha si encore une chose. J’ai dit que je ne pouvais pas vous décrire et pourtant… En regardant dans le rétroviseur je vous ai vu, c’était vous, c’était nous.

 

 

Jeu 26 mar 2015 Aucun commentaire